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Économie / Consommation

Le chocolat, en particulier le chocolat au lait, c’est la fierté nationale des habitants de la Suisse. Mais que valent réellement nos marques préférées ? La réponse avec une dégustation confédérale, réalisée avec nos collègues de Suisse alémanique et du Tessin. Une tablette de chocolat avec le nom du producteur de cacao inscrit sur l’emballage, on peut difficilement faire mieux en termes de traçabilité. Reportage chez un chocolatier « bean to bar », qui fabrique son chocolat de A à Z en partant de la fève de cacao. En plus d’une excellente traçabilité et de salaires décents aux planteurs, le « bean to bar » veut aussi faire redécouvrir les saveurs d’origine du cacao, loin des produits homogénéisés de l’industrie. La culture intensive du cacao est une des causes importantes de la déforestation des forêts tropicales. Dès 2025, les chocolatiers seront forcés d’améliorer la traçabilité de leur cacao. La nouvelle loi européenne sur la déforestation les obligera à livrer les coordonnées exactes des plantations. Des coordonnées qui seront ensuite contrôlées via des images satellites. C’est une alliance qui peut surprendre : la multinationale de l’alimentation, Nestlé, avec le WWF, défenseur de l’environnement. Ensemble, ils pressent aujourd’hui la Suisse de se doter d’une loi compatible avec les nouvelles directives européennes sur la déforestation. Ceci pour simplifier les futures exportations, mais aussi pour que le chocolat mangé en Suisse soit garanti « sans déforestation ». Est-il possible de préserver la biodiversité sans porter préjudice au cacaoculteur ? Tout ce qui va être entrepris pour lutter contre la déforestation permettra-t-il de résoudre les problèmes des pays producteurs de cacao ? Quels sont les moyens d’action des consommateurs suisses ? Linda Bourget en discute avec Samy Manga, écrivain qui a travaillé dans les plantations de cacao du Cameroun durant son enfance.
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La pureté des eaux minérales est au cœur de différents scandales depuis plusieurs mois. En collaboration avec On en parle, ABE a voulu tester la qualité de 10 eaux minérales vendues dans des grandes surfaces en Suisse romande. Nous avons acheté 5 eaux plates et 5 gazéifiées, et les avons envoyées dans 2 laboratoires pour y chercher des PFAS que l’on appelle aussi ‘polluants éternels’, des résidus de chlorothalonil, ainsi que d’autres pesticides et des microplastiques. Résultat : 4 bouteilles sur 10 contiennent l’une ou l’autre de ces substances. En voyant les résultats des analyses, cela a-t-il encore un sens de vendre des eaux minérales naturelles ? Ne faudrait-il pas plutôt les filtrer tout simplement ? Que faire, d’autre part, avec les pollutions déjà présentes dans les sols ? Linda Bourget en parle avec Céline Vara, Conseillère aux Etats, les Vert-e-s/NE.
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Il nous habille depuis la nuit des temps, le cuir, c’est une matière à la fois précieuse et très commune. Des peaux essentiellement de veau et d’agneau, traitées pour devenir du daim, du nubuck ou encore du cuir pleine fleur. Notre reportage. Il est très difficile de savoir d’où vient le cuir que l’on porte. La question est sensible, parce que les conditions de production comportent des risques. Le tannage se fait en effet avec des produits toxiques, dangereux tant pour l’environnement que pour les travailleurs. Des travailleurs aux prises avec des machines qui menacent elles aussi leur sécurité. Des substances problématiques dans les produits en cuir ? D’où qu’il vienne, le cuir peut contenir des substances problématiques, en particulier du chrome 6, une substance cancérigène quand on la respire, mais aussi allergène au contact de la peau. ABE a fait tester en laboratoire 18 produits en cuir achetés en grandes surfaces, dans des magasins spécialisés et sur internet. Résultats : 1 seul produit sur 18 dépasse la norme pour le chrome 6, fixée à 3 milligrammes/kg. Du pseudo cuir sans cuir, c’est possible : certains se spécialisent aujourd’hui dans la préparation de simili cuir à base non pas uniquement de matériaux synthétiques, mais de résidus de plantes. Nos explications.
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Le jeu virtuel Ballman Project, lancé par Stan Wawrinka, promettait une pluie de retours sur investissement en NFT, capitalisant sur l’image du champion. 3 ans plus tard, les petits investisseurs sont amers, ils ont presque tout perdu. Stan Wawrinka lui, a récupéré sa mise mais réfute tout enrichissement personnel.
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Acheter à crédit, payer sur facture, échelonner un gros paiement : des pratiques courantes et pourtant ! Celles-ci peuvent vous être refusées si vous êtes mal notés. Nous sommes, en effet, tous ou presque notés par des agences privées qui évaluent notre capacité de paiement. On appelle cela le ‘credit score’, un instrument dont l’élaboration et l’utilisation sont peu transparentes. Comment se fait-il que nous ayons à ce point peu connaissance d’un outil aussi répandu ? Le ‘credit score’ peut-il être un bon outil contre le surendettement ? Comment s’y prendre pour connaître sa ou ses notes ? Linda Bourget en parle avec Lison Meric, la journaliste qui signe cette enquête. Quelles sont les répercussions d’un mauvais ‘credit score’ dans la vie de tous les jours ? Témoignages dans cette émission. Comment sont élaborés les ‘credit scores’ ? Sur la base de quels types de données sont-ils établis ? Qu’est-ce qui détermine qu’une personne va se retrouver avec un mauvais ‘credit score’ ? Linda Bourget en discute avec Raoul Egeli, Président de Creditreform. Notre chroniqueur Benjamin Décosterd, nous livre ses réflexions sur les crédits à la consommation. Ces prêts permettent, selon lui, de s’endetter pour se procurer des objets dont nous n’avons pas vraiment besoin. Mais, pour certains d’entre nous, un mauvais ‘credit score’ va rendre l’emprunt plus difficile.
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Et si vos habits n’étaient plus fabriqués en Asie, mais au Portugal ? Dans le nord du pays, les ateliers tournent à plein régime pour répondre à la demande de petites marques, mais aussi de géants de la fast-fashion, comme Inditex. Le reportage de notre correspondante.
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Trois mêmes véhicules, des bus VW California Beach, situés dans la même commune du canton du Valais, connaissent les mêmes problèmes avec la même pièce de leur moteur. Les usagers sont fâchés. Contacté, l’importateur reconnaît qu’il existe des incidents isolés sur des véhicules de clients suisses. Il promet de faire un geste généreux si ces véhicules ont été entretenus selon les prescriptions du fabriquant. Cela veut-il dire que les clients vont être dédommagés ? ABE reçoit en ce moment beaucoup de témoignages de téléspectateurs qui connaissent de gros problèmes sur des véhicules relativement récents. A quoi faut-il être attentif quand on achète un véhicule, notamment au niveau des garanties ? Linda Bourget en parle avec Fanny Roulet, avocate.
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ABE a diffusé à l’automne 2023 une vaste enquête sur les marges de Coop et Migros au niveau de l’alimentaire, mettant en évidence certaines marges très élevées et les difficultés de certains éleveurs et producteurs en Suisse. L’émission de ce soir se penche sur d’autres acteurs de la grande distribution : ceux qu’on appelle les hard discounters, Lidl, Aldi et Denner. Depuis quelques années, ils ne cessent de gagner des parts de marché. Quels rôles occupent-ils aujourd’hui ? Leurs prix sont-ils vraiment avantageux ? Notre enquête. Dans l’esprit de certains consommateurs, les hard discounters sont perçus comme étant plus avantageux. Mais qu’en est-il réellement ? Pour déterminer qui de Migros, Coop, Denner, Lidl ou Aldi propose le panier le moins cher, nous avons concocté une liste de 30 produits très courants : des tomates, des pommes de terre, du jambon, du pain ou même des pâtes, entre autres produits alimentaires. Les courses ont été effectuées le même jour (le 1er mars) dans ces 5 enseignes, distantes de quelques centaines de mètres seulement, en périphérie genevoise. La règle : prendre à chaque fois le produit disponible le moins cher. Résultat des courses : les tickets de caisse ne varient pas beaucoup. Les prix des produits bas de gamme restent plus hauts qu’à l’étranger. Pour mettre la pression sur les entreprises suisses et faire baisser les prix, faut-il faire marcher le commerce transfrontalier ? Notre enquête a montré que les gammes ‘premier prix’ sont d’avantage présents dans les rayons à proximité des frontières. Qu’est-ce que cela dit de la concurrence sur le marché suisse ? Les produits premiers prix sont presque au même prix dans tous les commerces visités. Est-ce que la concurrence fonctionne de manière satisfaisante sur ce point ? Linda Bourget en parle avec Florence Bettschart- Narbel, membre de la COMCO, la Commission de la concurrence. Si les premiers prix attirent les clients, c’est le cas aussi de certaines marques, au point d’être incontournables pour les distributeurs. Nous avons comparé les prix d’une quinzaine de produits de marque dans les grandes enseignes Coop, Migros, Denner, Aldi et Lidl. Résultat : nous n’avons pas constaté de grosses différences de prix, à quelques centimes près. Où la concurrence se situe-t-elle quand on observe autant de produits de marque et de produits premiers prix vendus au même prix dans autant de magasins ? Suite de l’entretien avec Florence Bettschart- Narbel. Les Suisses aiment le bio, mais chez Coop et Migros ces produits coûtent beaucoup plus cher que le conventionnel et les marges sont élevées. Du bio à petit prix, c’est donc ce que font miroiter aujourd’hui Lidl et Aldi à leurs clients.
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Les piles sont partout dans notre univers quotidien…choisir la bonne pile peut vite devenir un casse-tête. ABE a testé l’efficacité des piles rechargeables et alcaline les plus vendues et reportage chez Ikea qui a décidé il y a deux ans de retirer l’assortiment de piles jetables et de ne plus vendre que des piles rechargeables !
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Des produits qui rétrécissent mais des prix qui ne baissent pas : on appelle cela la shrinkflation une contraction de l’anglais « to shrink » qui (rétrécir) et du mot « inflation ». En français, on appelle cette inflation cachée, la « réduflation ». Chocolats, boissons, céréales, biscuits, fromages, elle touche un large panel de produits alimentaires, en Suisse comme ailleurs. Notre enquête. Une autre méthode pour augmenter les prix de manière cachée consiste à rogner discrètement sur le qualité du produit en réduisant, supprimant ou substituant un ingrédient par un autre de moins bonne qualité sans changer le prix. On parle alors de « cheapflation », du mot « cheap » (bon marché) et d’une contraction du mot inflation. Mais en réduisant la qualité nutritionnelle des produits, cette méthode peut avoir des incidences sur la santé des consommateurs.
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L’homéopathie, c’est une médecine complémentaire, aujourd’hui remboursée en Suisse par l’assurance obligatoire. A ce titre, notre pays pourrait bientôt faire figure d’exception. La France a, en effet, cessé de rembourser l’homéopathie il y a trois ans, et l’Allemagne en prend également le chemin. Reportage de notre correspondante en Allemagne. Rembourser une médecine dont l’efficacité n’a jamais été prouvée, est-ce rationnel et juste ? Les primes maladie étranglent aujourd’hui les ménages suisses. Comment justifier aujourd’hui que la collectivité paie pour l’homéopathie ? Linda Bourget en parle avec Léonore Porchet, Conseillère nationale Les Verts.e.s (VD).
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Environ 60'000 francs, c’est le prix moyen d’une voiture neuve en Suisse. Une somme non négligeable, donc une dépense sur laquelle il ne faut pas se tromper. Alors, quelles sont les bonnes questions à se poser au moment de passer à la caisse ? Nos explications. Il est aussi possible d’opter pour un véhicule d’occasion. Faut-il passer par un garagiste, une plateforme de revente ou un particulier ? Et quel type de garantie choisir ? Voici quelques règles pour ne pas se perdre dans cette jungle.
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Elaborer la recette d’un nouveau produit, dans l’industrie alimentaire c’est beaucoup de temps et d’argent. Dans ce domaine, le potentiel de l’intelligence artificielle est donc considérable, les fabricants l’ont bien compris. Sans le savoir, vous buvez peut-être déjà de la bière ou du soda créé par des algorithmes. ABE a expérimenté la création d’un nouveau produit, en faisant élaborer une recette inédite de chocolat à une IA, avec à la clé un ingrédient pour le moins surprenant ! Souriez, vous êtes ciblés ! Aujourd’hui, certains écrans d’affichage vous filment, vous profilent, et diffusent une publicité personnalisée. Les supermarchés Spar ont déjà adopté cette technologie, une approche que certains centres commerciaux Migros sont également en train de tester. Ils s’appellent Rufus, Sam, ou Rosie, ce sont des robots de discussion (chatbots, en anglais) qui seront prochainement à même de répondre aux questions que se posent les consommatrices et consommateurs sur les sites de certains géants du commerce, ceci grâce à l’intelligence artificielle. Un chatbot est déjà opérationnel sur certains sites, comme celui de la compagnie Swiss ou celui de Jumbo. Le Conseil fédéral a-t-il pris la mesure de ce qui est en train de se passer avec l’intelligence artificielle ? Concrètement, que faut-il faire ? Encadrer ou interdire certaines choses ? Linda Bourget en parle avec Olivier Feller, Conseiller national PLR/VD.
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Les gares sont en pleine métamorphose. Fini les simples hubs de mobilité : garnies de commerces, de restaurants, de centres de santé ou de services en tout genre, elles font aujourd’hui office de grands centres commerciaux. Cette activité immobilière est particulièrement lucrative pour les CFF. Mais quels sont les commerces qui s’installent dans l’enceinte de la gare ? A combien se montent les loyers et quels sont les prix appliqués ? ABE vous emmène dans l’univers très fréquenté des gares. Les prix sont-ils particulièrement élevés dans les gares ? Un de nos recherchistes a fait une tournée des 7 principales gares en Suisse romande pour noter les prix des cafés, eaux minérales et croissants à l’emporter, comme le ferait un pendulaire. La tournée s’est limitée aux établissements se trouvant dans les gares. Résultats : il n’y a pas vraiment de différence de prix entre les cafés achetés en gare et ceux qu’on pourrait prendre en ville. Certains produits, comme les croissants, sont plus chers dans certaines gares, pour une même échoppe. Quant au prix de l’eau en bouteille, il varie fortement selon les enseignes. Le petit café, bonheur ou horreur du matin ? Pour le savoir, ABE a mis à l’épreuve 7 cafés à l’emporter, tous achetés dans différentes enseignes de la gare de Fribourg. Notre chroniqueur Benjamin Décosterd n’est convaincu ni par la gastronomie, ni par les cafés qu’on trouve que les gares, et trouve que ces lieux devraient surtout servir à prendre des trains.
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Le pari sportif connaît un véritable boom grâce aux sites de jeux en ligne qui offrent des possibilités quasi infinies. Accéder aux sites de paris étrangers est un jeu d’enfant même si ceux-ci sont officiellement interdits en Suisse. Comment ce marché fonctionne-t-il ? Les joueurs sont-ils suffisamment protégés ?
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Mangas, ramens et même chiens. Tout ce qui a trait au Japon cartonne. Rencontre avec des entrepreneurs passionnés qui surfent sur la vague nipponne.
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L’économie mondiale a été fortement fragilisée ces dernières années par l’instabilité, les risques géopolitiques mais aussi la pandémie de Covid-19. Elle se porte globalement mieux mais reste vulnérable, et les différences régionales sont très fortes.
27 min
En Suisse, on consomme chaque année 20 millions de portions de nouilles instantanées. Cuites en 5 minutes dans de l’eau chaude et assaisonnées d’une poudre à la composition parfois très mystérieuse, ces nouilles sont faciles à cuisiner, pas chères et pratiques à manger. Elles sont par conséquent très prisées des jeunes générations. Depuis quelque temps, les Suisses raffolent des ramens, ce plat de nouilles servies dans un bouillon, et accompagné de plusieurs garnitures. Reportage dans un restaurant lausannois dont c’est la spécialité. Le saviez-vous ? Les nouilles instantanées ont été inventées par un Japonais en période d’après-guerre, à la fin des années 1950, où la production de nourriture était insuffisante pour nourrir la population. Après avoir conquis le Japon, la Chine et l’Indonésie, les nouilles instantanées envahissent désormais le marché indien. En 2023, plus de 5 milliards de paquets y ont été consommés. Dans la banlieue de New Delhi, nos correspondants ont pu visiter l’usine Wai Wai, l’une de marque indiennes les plus populaires. Cette usine fabrique, entre autres, des nouilles instantanées que l’on retrouve jusque dans les supermarchés suisses. Mais ces nouilles sont-elles vraiment aussi saines que leurs emballages nous le font croire ? Et qu’en est-il des bienfaits nutritifs de ces préparations industrielles ? Des réponses dans ce reportage.
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Les « puffs », ces cigarettes électroniques jetables aux goûts fruités, rendent les jeunes accros à la nicotine. C’est la dernière combine de l’industrie du tabac pour s’assurer de nouveaux clients, car qui dit nicotine dit addiction. Et l’industrie du tabac, dont les produits tuent encore 8 millions de personnes chaque année dans le monde, espère bien que ces jeunes clients deviennent plus tard des fumeurs de cigarettes au tabac. Une stratégie redoutable, dénoncée par tous les experts.
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C’est la nouvelle tendance de l’électroménager : des robots multifonctions qui cuisent, pétrissent, hachent et mélangent. Des machines qui promettent aux cancres de la cuisine d’en finir avec les plats cuisinés et de tout faire « maison » sans efforts et en un tour de main. Les préparations les plus complexes deviennent faciles, avec un résultat garanti, à condition de suivre pas à pas les instructions du robot. Mais cela change-t-il réellement la vie ou est-ce juste un appareil de plus ? Notre reportage. Les nouveaux robots cuiseurs ont un point commun : ils sont connectés à une interface digitale qui propose un catalogue de recettes adaptées. Des recettes où l’utilisateur est guidé à chaque étape grâce à des instructions qui s’affichent à l’écran. En plus des recettes incluses à l’achat de l’appareil, des milliers de recettes supplémentaires sont disponibles sur des applications, parfois via un abonnement annuel payant. Quels sont les meilleurs robots cuiseurs ? ABE a fait comparer 8 robots cuiseurs par 4 chefs à l’Ecole Hôtelière de Genève. Les robots vont nous remplacer même en cuisine ! Notre chroniqueur Benjamin Décosterd n’est pas convaincu de la nécessité d’équiper sa cuisine d’un robot cuiseur.
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